Et si j'avais les mots qu'il faut pour accrocher les images...
Ma dame grise
--> assise par terre, dans le couloir, face à lui. cet endroit. la porte s'ouvre et j'entre. comme un mirage. mais réveille-toi voyons, c'est fini tout ça. écrit il y a déjà un bout de temps. maintenant ça va mieux...
je vois dans ce couloir nos ombres s'entrelacer
Dans ce couloir si noir, l'amour a commencé
Ma douce il y a un vide derrière votre bureau gris
Et c'est le teint livide que je pleure face à lui
Ma belle mon tout petit, mon grand oiseau amant
Et vos bras et vos mots me manquent tellement
Cet endroit n'est plus rien, sans vous il ne vit
Et c'est trop tôt qu'elle vient car personne ne l'attend
Oh mon amour si doux qui sommes nous vraiment ?
Et c'est face à la porte, vide de votre prénom
Que j'me sens déprimée sans amour et sans vie
Mon amour vous êtes mon tout, mon toit, mon nom
Et je vous aime encore plus que ma propre vie.
Et je me recroqueville là où nos pas se sont aimés
J'ai froid je suis transie face à notre passé
Au lieu de nos deux voix, un silence monotone
J'attends, j'attends vos yeux, votre peau et vos formes
Mais rien, où êtes vous ? et m'aimez vous encore
Oh ma si belle, restez mi amOR
Et je contemple ici cet espace sans vous
Face au bureau , dos à la fenêtre, Comme avant
Et je garde en nous cette blessure ouverte
celle qui "vivait" ici ne quittera pas mon être...
Dans ce couloir si noir, l'amour a commencé
Ma douce il y a un vide derrière votre bureau gris
Et c'est le teint livide que je pleure face à lui
Ma belle mon tout petit, mon grand oiseau amant
Et vos bras et vos mots me manquent tellement
Cet endroit n'est plus rien, sans vous il ne vit
Et c'est trop tôt qu'elle vient car personne ne l'attend
Oh mon amour si doux qui sommes nous vraiment ?
Et c'est face à la porte, vide de votre prénom
Que j'me sens déprimée sans amour et sans vie
Mon amour vous êtes mon tout, mon toit, mon nom
Et je vous aime encore plus que ma propre vie.
Et je me recroqueville là où nos pas se sont aimés
J'ai froid je suis transie face à notre passé
Au lieu de nos deux voix, un silence monotone
J'attends, j'attends vos yeux, votre peau et vos formes
Mais rien, où êtes vous ? et m'aimez vous encore
Oh ma si belle, restez mi amOR
Et je contemple ici cet espace sans vous
Face au bureau , dos à la fenêtre, Comme avant
Et je garde en nous cette blessure ouverte
celle qui "vivait" ici ne quittera pas mon être...
Ecrit par rafaelle-, le Mercredi 27 Avril 2005, 21:33 dans la rubrique Mes poèmes.
Commentaires :
juliete
Alors si ça va mieux... tant mieux !!!
;D